Résumé
Pour le fidèle bras droit du commissaire Montalbano, l’infatigable coureur de jupons Mimí Augello, c’est une nuit comme les autres lorsqu’il doit se sauver par la fenêtre de la chambre de sa maîtresse pour échapper au mari cocu. Ce qui l’est moins en revanche, c’est de tomber à l’étage du dessous sur le voisin allongé sur son lit, élégamment vêtu… et mort.
Le lendemain matin, un appel au commissariat signale qu’un homme a été retrouvé dans les mêmes circonstances, à une adresse différente. Comment est-ce possible ? …
L’auteur
Italien d’origine sicilienne, né en 1925, Andrea Camilleri a mené une longue carrière de metteur en scène pour le théâtre, la radio et la télévision, avant de se tourner vers la littérature. D’abord auteur de poèmes et de nouvelles, Camilleri s’est mis sur le tard à écrire dans la langue de sa Sicile natale. Il a connu le succès avec sa série consacrée au commissaire Montalbano.
Ma chronique
Je découvre cet auteur avec ce roman qui vient de paraître aux éditions Fleuve. Décédé en 2019, sa grande production littéraire permet de continuer à le lire.
Comment ne pas aimer le commissaire Montalbano, sa truculence et son appétit de vivre ?
Le style est particulier avec son vocabulaire typiquement local qui donne le ton et a le mérite de nous immerger complètement dans son monde sicilien.
L’enquête est à l’image du commissaire, un peu décalée, mouvementée, pleine de rebondissements et presque gaie si j’ose le dire dans un contexte de meurtres.
Côté ambiance, on pourrait se croire dans une pièce de Feydeau, les amateurs seront comblés.
Je vous laisse découvrir l’intrigue, presque secondaire, la peinture de la Sicile et son contexte économique prévalent ici.
Une lecture plutôt légère et agréable , ce n’est pas un coup de coeur pour moi.
Paru aux éditions Fleuve éditions.
Rapport de faute d’orthographe
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