Résumé :
1837. L’espoir d’une vie meilleure pousse Ida et ses parents à partir à l’autre bout du monde, en Nouvelle-Zélande. Quand leur navire, accoste enfin au sud de l’île, les colons s’installent dans un village de pêcheurs. Et Ida déchante. Non seulement est-elle mariée de force à un homme qui se révèle brutal, mais la vie, au sein de cette communauté rigoriste, y est tout aussi dure qu’en Europe…
L’auteure :
Née en 1958 dans la Ruhr, Sarah Lark vit près d’Almeria, en Andalousie, où elle a créé un refuge pour chevaux. Sa trilogie du « Nuage blanc », traduite dans 22 pays, a séduit plus de 3 millions de lecteurs dans le monde. Ses huit romans ont tous paru à l’Archipel, puis chez Archipoche.
Ma chronique :
Un pavé qui se lit très vite : j’ai été complètement happée par cette histoire de colons allemands qui s’installent en Nouvelle Zélande en ce milieu du dix-neuvième siècle. L’histoire est incroyable, la vie de ces pionniers si compliquée : en fin de livre l’auteure explique qu’elle s’est appuyée sur des faits historiques pour construire son intrigue. C’est réussi, une aventure qui colle parfaitement avec l’histoire de ce pays.
Des allemands, souvent des artisans, convaincus par leur pasteur, partent en quête d’une vie meilleure. Un voyage, lui-même une épopée, entre l’Allemagne et la Nouvelle Zélande qui dure plusieurs mois avec une escale au Brésil. Ils débarquent sur l’île du Sud en Nouvelle Zélande, la plus sauvage des deux îles, essentiellement habitée par des maoris.
Parmi les héros, Ida et Karl, ont découvert cette île avant leur voyage par un livre « Les voyages du capitaine Cook ». Cette lecture va changer leur destinée.
J’ai aimé les aventures de ces découvreurs, leur vie au milieu d’une nature sauvage pas toujours hospitalière et les chocs interculturels lors des rencontres avec les maoris.
À peine refermé, ce livre me manque déjà : une suite est-elle prévue ? Je l’espère…
Publié aux éditions de l’Archipel.
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