Résumé : Quand il ne voyage pas au bout du monde, Gab retape des maisons avec amour et passion grâce à ses talents d’ébéniste, y vit un ou deux ans et puis s’en va. Dans le Gers, les Alpes, les Cévennes, en Normandie, dans le Jura. Gab n’a pas eu six femmes dans sa vie, mais six maisons. La dernière en date située dans les Pyrénées, il l’aime de tout son cœur, mais le temps est venu pour lui de la laisser. Pour que, comme à chaque fois, un homme ou une femme, un couple peut-être, s’y installent et l’aiment à leur tour. A plusieurs centaines de kilomètres de là, Magda en a marre d’être un robot. Elle en a assez de s’abîmer le dos et les yeux devant son ordinateur. Elle a envie d’habiter à la mer. Ou non, à la campagne. En fait, peu importe : c’est la maison qui la choisira.
L’auteur : Né en 1973, Mathias de Breyne est auteur et traducteur. Il a vécu plusieurs années aux États-Unis et en Argentine. Il a signé plusieurs ouvrages, documents, essais et texte plus personnels. La Maison est son premier roman.
Mon avis :
Merci aux éditions Belfond pour cette agréable découverte.
J’ai passé un très bon moment avec Gab, Magda et leur maison.
Un roman joyeux et décalé qui m’a fait sourire, réfléchir tout en titillant mon imaginaire. Pas mal déjà !
Une histoire d’amour, qui nait grâce à une maison, puisque Gabriel, qui se fait appeler Gab, ébéniste, adore retaper des maisons puis les revendre ensuite. Pourtant, lorsque Magda se présente pour acheter sa maison, les choses ne se passent pas comme d’habitude. Gab se sent attiré par la jeune femme et c’est réciproque. La maison les a attirés chacun, les réunit ensuite, je ne vous en dirai pas beaucoup plus sur l’histoire pour vous laisser, comme moi le plaisir de la découvrir.
Sachez que vous trouverez dans ce texte : de l’amour, de l’humour, de l’amitié et de la tendresse ainsi qu’une réflexion sur nos choix de vie. Une chouette histoire avec des humains, une maison et une nature grandiose. L’écriture est vive et pétillante.
A déguster dans une belle maison ou un grand jardin.
Merci aux éditions Belfond.