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Critique de : Coffret Bracelets d’harmonie de vos chakras de Helvise Gallet

Coffret Bracelets d’harmonie de vos chakras de Helvise Gallet

Présentation :

À chaque chakra correspond une pierre de bien-être pour le renforcer. Identifiez les chakras qui ont besoin d’être équilibrés et crééez votre bracelet d’harmonie en fonction de vos envies. Prenez le temps de souffler et d’interrompre le flot de vos pensées. Laissez les pierres vous apporter au quotidien l’énergie dont vous avez besoin. 

L’auteur 

Les chakras expriment une réalité qu’HELVISE GALLET côtoie à travers les soins énergétiques dont elle bénéficie depuis l’adolescence. Pendant 10 ans, elle exerce en tant que juriste spécialisée dans les droits de l’homme à l’international. En 2012 elle change radicalement de vie et décide d’écouter son guide intérieur. Elle accompagne désormais les êtres sur leur chemin de vie en tant que thérapeute énergéticienne.

Ma chronique :

Après avoir lu son précédent ouvrage « Le secret de vos chakras », j’ai eu envie de découvrir les propositions d’Helvise en matière de pierres équilibrant nos chakras.

Complémentaire à son ouvrage précédent, ici, elle nous propose de composer nous-mêmes un bracelet avec des pierres, en lien avec nos différents chakras.

Le principal intérêt de ce coffret réside dans le fait que chacun est autonome et choisit les cristaux lui convenant au moment de la fabrication du bracelet.

Une idée originale qui m’a emballée dès que j’ai vu le coffret : c’est ce que je cherchais, choisir les pierres au moment où j’en ai envie pour personnaliser mon bracelet.

Pour choisir les pierres, un livre avec des schémas rappelle l’action des cristaux pour chaque chakra, les vertus de chaque pierre qui agissent sur nos chakras.

J’ai aimé les propositions en début de livre comme : se faire confiance dans le choix des pierres, ressentir la vibration de chacune et les conseils de sélection de pierres en fonction de besoins types. 

Avec quatorze pierres naturelles, plusieurs liens et les bloque-pierres, il est possible de réaliser au minimum deux bracelets avec ce coffret. Je regrette simplement que l’origine des pierres ne soit pas indiquée.

Un coffret que je recommande à tous : une belle idée cadeau pour les fêtes.

Paru aux éditions Hachette Pratique.

Notation :

Critique de : Le hameau des purs de Sonja Delzongle

Le hameau des purs

Résumé :

Audrey Grimaud, journaliste, est envoyée sur les lieux d’un incendie criminel ayant fait sept victimes. Dans ce hameau ravagé par les flammes réside une communauté de Purs qui a choisi de vivre à l’écart du monde moderne. Audrey connaît bien l’endroit : ses grands-parents faisaient partie de cette congrégation mystérieuse. Peu à peu, des épisodes troubles de son enfance remontent à la surface. Des disparitions suspectes, d’étranges accidents qui ont émaillé ses séjours là-bas. 

L’auteure :

Née en 1967 d’un père français et d’une mère serbe, Sonja Delzongle a grandi entre Dijon et la Serbie. Après un DEUG en Langues et Lettres Modernes, elle s’attaque au concours de l’École des Beaux-Arts de Dijon et obtient un diplôme au bout de six ans. Elle peint et expose durant une quinzaine d’années, puis devient journaliste en presse écrite à Lyon…  Après l’écriture d’une nouvelle devenue depuis un roman court, La Journée d’un Sniper, elle publie un premier thriller À titre posthume, puis Le Hameau des Purs, en 2011. 

Ma chronique :

Je suis cette auteure depuis Dust, son premier succès, toujours avec un intérêt croissant. 

Ce roman paru en 2011 est une nouvelle édition revue par l’auteure.

Je salue de nouveau sa force narrative, un thriller très efficace qu’on a du mal à lâcher. Quand on ouvre un livre de Sonja Delzongle, mieux vaut prévoir des plages libres dans son calendrier pour avancer dans sa lecture au plus vite.

J’aime ses intrigues toujours ancrées dans un contexte historique ou social qui renforce l’intérêt de l’histoire. Contrairement à beaucoup d’auteurs de thrillers qui écrivent des histoires citadines, Sonja nous emmène à la campagne dans un village.

Au cœur d’une secte, Audrey, journaliste, enquête après un incendie. Frappée de flashes médiumniques qui la ramène vers son passé, le voile se lèvera progressivement sur cette affaire.

L’intrigue est très bien ficelée, la plume est fluide : le lecteur est captivé jusqu’aux dernières lignes.

Bravo pour ce livre réussi.

Paru aux éditions Folio.

Notation :

Critique de : Les listes d’Elisabeth de Lulah Ellender

Les listes d’Elizabeth
Les listes d’Elizabeth

Résumé :
Plusieurs années après la mort de sa grand-mère Elisabeth, Lulah Ellender hérite d’un curieux objet – un carnet rempli de listes. Dans ces fragments de la vie quotidienne, Lulah découvre les détails de l’extraordinaire destin d’Elisabeth : son enfance de fille d’ambassadeur dans les années 1930 en Chine, son mariage avec un diplomate britannique et leur vie à Madrid sous Franco, à Beyrouth après la guerre, puis à Rio et à Paris. Tout au long de son existence, ces listes ont été pour elle une source de structure et de réconfort entre le faste de sa vie publique et les troubles de sa vie privée.

L’auteure :
Lulah Ellender est journaliste pour différents magazines britanniques. Elle vit à Lewes avec son mari et ses quatre enfants. Les Listes d’Elisabeth est son premier ouvrage.

Ma chronique :
Un récit touchant qui couvre trois générations grâce aux souvenirs de la grand-mère de l’auteure, femme de diplomate à la vie bien remplie.
Retrouver un carnet rempli de listes puis en écrire un roman témoignage, voilà une belle idée !

Comme le précise l’auteure, une liste permet de détailler le rôle des objets participants à notre vie. Ces objets sont aussi une composante de notre bonheur.
Les listes sont une trace du passé, révélateurs de la vie quotidienne et du caractère du rédacteur. 

J’ai aimé suivre les pas d’Elizabeth qui accompagne son mari autour de la planète, une vie riche et mouvementée avec des déménagements multiples qui nécessitent une grande adaptation.

Au fil de la lecture, l’auteure confie mieux comprendre sa grand-mère et sa mère : un beau voyage intergénérationnel.
À découvrir.

Paru aux éditions Les Escales.

Notation :

Critique de : Mudra de bien-être de Gertrud Hirschi

Mudras de bien-être
Mudras de bien-être

Présentation :
Avec ces 64 nouveaux mudras de bien être, Gertrud Hirschi, experte en yoga des mains, met l’accent sur leurs effets psychospirituels et leurs bienfaits sur les maladies dites de civilisation.
Dans cet ouvrage, elle nous décrit avec simplicité comment tirer le meilleur parti de nos dix doigts.

L’auteure :
Gertrud Hirschi dirige une école de yoga à Zurich. Elle organise régulièrement des séminaires à travers le monde.

Ma chronique :
Intéressée par le yoga, j’ignorais cette technique de yoga des mains. Ce livre est un guide pour découvrir cette pratique : bien illustré, clair et donnant envie de se lancer. Comme indiqué en quatrième de couverture, nous découvrons que nous avons « un véritable trésor au bout de vos doigts ».

Dans l’introduction, l’auteure explique qu’elle a pratiqué ce type de yoga étant bloquée sur un lit d’hôpital pendant trois mois, cela l’a aidé physiquement, psychiquement et spirituellement. « Beaucoup de personnes m’ont confirmé que les mudras les ont grandement aidées » confie-t-elle.

Les mudras sont utilisés dans plusieurs thérapies comme le training mental, la kinésiologie ou le brain-gym (je confirme ce dernier le pratiquant). Les mudras ont une action sur le corps, l’esprit et l’âme. Tout l’organisme est représenté dans la main : main droite pour les organes du côté droit et main gauche pour les organes du côté gauche; pour les parties du corps centrales comme l’estomac ou la colonne vertébrale, ils sont représentés dans chaque main. Des schémas des mains avec les différentes zones éclairent le propos.

Les mudras agissent aussi sur le plan émotionnel : ils sont en lien avec notre respiration et font appel à des images intérieures.

Ce qui donne envie de se lancer : on peut pratiquer debout, assis ou couché, c’est simple. Se pratiquant discrètement on peut aussi les utiliser au bureau ou avant une épreuve. 

Le conseil de l’auteure : établir un rituel pour pratiquer chaque jour, le matin pour se réveiller en forme, dans la journée selon les besoins  : par exemple contre le stress, contre les tensions, pour voir clair ou pour la digestion. Le soir, pour mieux dormir, un autre rituel a tester.

J’ai aimé aussi la proposition pour chaque mudra d’allier une affirmation positive et de la combiner aux images intérieures. Voilà une technique éprouvée aussi en sophrologie : je recommande.

Pour aller mieux et se faire du bien, soixante-quatre mudras à pratiquer.

Paru aux éditions Le Courrier Du Livre chez Guy Trédaniel.

Notation :

Critique de : Quand on ne peut oublier de Tamara McKinley

Quand on ne peut oublier
Quand on ne peut oublier

Résumé :
Décembre 1941. Le père de Sarah Fuller, 19 ans, dirige une plantation d’hévéas en Malaisie, ou sa famille mène une vie de riches colons. Mais le conflit qui secoue l’Europe gagne cette partie du monde.Quand les Japonais commencent a bombarder Singapour, Sarah est contrainte de quitter sa famille et son fiance, Philip, pour aller trouver refuge en Angleterre. La longue traversée vers le vieux continent s’annonce périlleuse. Or, ni elle ni sa sœur Jane – qui requiert une attention constante – ne savent si leur grand-tante, censée les accueillir, est toujours de ce monde…

L’auteur :
Née à Launceston (Tasmanie) en 1948, Tamara McKinley émigre en Grande-Bretagne, où elle intègre un pensionnat de jeunes filles du Sussex. De La Dernière Valse de Mathilda (2005), traduit dans plus de 20 pays, à La Route de Savannah Winds (2019), ses romans ont tous paru aux éditions de l’Archipel, puis en Archipoche. Mère de trois enfants, Tamara McKinley vit sur la côte sud-est de l’Angleterre.

Ma chronique :
Choisir un roman de Tamara McKinley c’est l’assurance de lire une histoire dépaysante, au cœur d’une période historique tourmentée avec des héros très attachants : que du bonheur !
Un livre qui fait du bien et nous réconcilie avec le genre humain : comment ne pas succomber au grand cœur de Peggy, mon héroïne préférée ? Peggy gère sa pension en pensant chaque jour aux petits bonheurs qu’elle pourra apporter aux siens et en ses temps de restrictions c’est précieux !
L’histoire débute en Malaisie alors que les japonais s’apprêtent à bombarder Singapour. Sarah et sa famille voient leur vie paisible bouleversée. L’auteure décrit le quotidien de cette famille au milieu de cette guerre, la plantation à gérer puis la décision de partir.

Après la partie malaisienne nous retrouvons l’Angleterre et la pension du Bord de Mer, la famille malaisienne y a une parente.
C’est là que Peggy et ses proches interviennent avec ces ingrédients magiques : l’amitié, l’amour et l’entraide. Oui c’est un florilège et on en redemande.
En synthèse : une histoire touchante avec des personnages aux destinées étroitement liées à cette période perturbée de la seconde guerre mondiale. 

En refermant ce livre, on se dit : à quelle date paraît la suite ?

Rapidement j’espère…

Paru aux éditions de l’Archipel.

Notation :