Résumé
Il y a une minute, Henny Broek traversait la rue, maintenant elle est plantée sur le trottoir et regarde son cadavre. Elle est donc décédée dans un accident de la route et devrait rejoindre le royaume des morts. Mais elle a passé toute sa vie dans la même petite ville, elle a toujours travaillé dans le même motel décati et elle ne compte pas leur dire adieu de sitôt. Alors qu’elle regarde ses amis et ses proches réunis pour son enterrement, Henny est confrontée à un nouveau défi : les aider à retrouver leur joie de vivre, malgré leur apparente détermination à rester isolés et malheureux. Henny décide de raviver les vieilles amitiés et de réunir les anciens amants.
L’auteur
Katarina Bivald a grandi en travaillant à mi-temps dans une librairie. Aujourd’hui elle vit en Suède près de Stockholm.
Mon avis
Une auteure que je suis depuis son premier roman : « La bibliothèque des cœurs cabossés » paru il y a quatre ans. Très emballée par ce premier roman, le suivant «Le jour où Anita envoya tout balader » m’avait aussi fait une très bonne impression.
Pour ce troisième récit, j’ai été globalement déçue : je n’ai pas retrouvé le plaisir de lecture des premiers romans. Ancré dans notre époque, au travers des combats contre l’homophobie ou les transgenres, ce roman interpelle le lecteur et sur ce plan je m’y suis retrouvée. L’entraide et l’amitié des quatre héros fait chaud au cœur également.
Pourtant Henny, l’héroïne décédée, trop terne ne m’a pas convaincue. Je n’ai pas accroché au personnage et cela m’a gênée. La lecture n’a pas été fluide, quelques longueurs dans ce récit de plus de cinq cent pages.
Un avis mitigé donc sur ce livre, à vous de le découvrir maintenant.
Paru aux éditions Denoël et traduit du suédois par Lucas Messmer.
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