À New York, pendant la Prohibition, James Malloy, attaché de presse pour une société de production cinématographique, accompagne Charlotte Sears, actrice sur le déclin et maîtresse d’un riche homme d’affaires lié à la pègre. Au retour d’une réception, la star et son amant ont un accident de voiture… Ami d’Hemingway et de Fitzgerald, John O’Hara, qui fut surnommé par la critique « le Balzac américain », excelle dans le portrait désenchanté d’une société où l’on promène ses chagrins en limousine et en vison, en buvant du champagne…
Écrivain américain, John O’Hara (1905-1970) a quitté très tôt l’école et a exercé des métiers aussi divers que secrétaire, mécanicien, gardien de parc ou reporter… Auteur de romans, de scénarios et de nombreuses nouvelles, il a notamment écrit des feuilletons pour The New Yorker. Une de ses œuvres majeures est Rendez-vous à Samarra (1934). Sa vie mouvementée l’empêcha d’accéder à la reconnaissance critique qu’il méritait.
Futile, et décevant, je n’ai pas terminé ce livre.
L’histoire trop simple manque d’épaisseur, pas d’accroche non plus. C’est une succession de dialogue entre une comédienne et un journaliste.
Pas d’intrigue et je me suis ennuyée donc je ne vous le conseille pas.
J’ai préféré le roman «Rien n’est trop beau » de Rona Jaffe qui dépeint si bien la société américaine des années 50 (voir le commentaire publié sur ce site).
Vivement le prochain livre pour retrouver mon enthousiasme habituel.
Rapport de faute d’orthographe
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