Résumé :
Rien n’est plus éphémère que la mémoire d’un enfant. Quand Malone, du haut de ses trois ans et demi, affirme que sa maman n’est pas sa vraie maman, même si cela semble impossible, Vasile, psychologue scolaire, le croit. Il est le seul… Il doit agir vite. Découvrir la vérité cachée. Trouver de l’aide. Celle de la commandante Marianne Augresse par exemple. Car déjà les souvenirs de Malone s’effacent. Ils ne tiennent plus qu’à un fil, qu’à des bouts de souvenirs, qu’aux conversations qu’il entretient avec Gouti, sa peluche. Le compte à rebours a commencé. Avant que tout bascule. Que l’engrenage se déclenche. Que les masques tombent.
L’auteur :
Professeur de géographie à l’université de Rouen, Michel Bussi est l’auteur aux Presses de la Cité de Nymphéas noirs (2011), Un avion sans elle (2012) et Ne lâche pas ma main (2013) et N’oublier jamais en 2014.
Mon avis :
Un très bon Michel Bussi, je l’ai dévoré !
Deux histoires en parallèle : un braquage à Deauville qui tourne mal et un petit garçon qui prétend que sa maman n’est pas sa vraie maman.
Un psychologue scolaire écoute le petit Malone et le fait parler pour tenter de comprendre son histoire. Nous apprenons alors le fonctionnement de la mémoire des jeunes enfants et l’urgence pour le psychologue de découvrir la vérité. Pendant ce temps, Marianne, la commandante, enquête sur le braquage. Elle va aussi intervenir sur l’histoire de Malone pour aider le psychologue. Les parents du petit ont peut-être un passé avec des ombres.
Angie, la coiffeuse, et copine de Marianne est un personnage auquel on s’attache aussi dans cette histoire.
Un excellent polar : de multiples rebondissements, une histoire complexe intelligemment menée et des personnages attachants et terriblement humains.
Pour accrocher le lecteur, une tension qui monte crescendo et nous capte de bout en bout.
Décidément Michel Bussi est très fort et ses romans sont addictifs.
Je l’ai découvert avec « un avion sans elle » qui m’a bluffée aussi.
Franchement, n’hésitez pas. Foncez et belle lecture !
Merci à Babelio et aux Editions Presse de la cité pour cette lecture.
Rapport de faute d’orthographe
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