Résumé :
Juillet 1944. Lorsque Helena apprend que la Nouvelle-Zélande est prête à accueillir des orphelins venant d’Europe, elle espère faire partie des heureux élus. Rêve de courte durée quand on l’informe qu’à 17 ans elle est trop âgée…
À la suite d’un imbroglio, Helena réussit pourtant à prendre place à bord d’un navire en partance pour le Pays du nuage blanc. Mais c’est une jeune femme dévastée qui débarque à Wellington.
L’auteure :
Sarah Lark vit près d’Almeria, en Andalousie, où elle a créé un refuge pour chevaux. Sa saga néo-zélandaise – Le Pays du nuage blanc, Le Chant des esprits et Le Cri de la terre –, traduite dans vingt-deux pays, a séduit plus de trois millions de lectrices dans le monde.
Ma chronique :
J’affectionne particulièrement cette auteure qui nous emporte avec talent dans ses contrées lointaines.
Si vous aimez les romans d’aventures avec un contexte historique documenté et dépaysant, n’hésitez pas. Souvent classé dans les romans d’évasion, celle-ci est réelle. Cet épisode peut se lire indépendamment des précédents tomes.
Courage, empathie, entraide et humanité sont les valeurs incarnées par les personnages. Tous forcent notre admiration comme Helena, l’héroïne, qui a vécu l’enfer des camps soviétiques avant de se retrouver dans un camp en Iran. Les autres personnages, en Nouvelle Zélande, sont forts, courageux et lumineux. Mention spéciale pour l’immersion dans la culture maori, peuple qui a une place fondamentale dans l’histoire. Sarah Lark démontre une fois de plus sa connaissance de ce peuple et son empathie transparaît dans chaque page.
Une belle romance au cœur de la seconde guerre mondiale, au milieu de cette nature indomptée de l’île du Sud de la Nouvelle Zélande.
À la fois instructif et dépaysant, une lecture fluide et passionnante, parfaite pour l’été, que je vous recommande.
Merci aux éditions de l’Archipel et à NetGalley pour cette découverte.
Rapport de faute d’orthographe
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